Qu’apporte l’étiomédecine ?

Qu’apporte l’étiomédecine ?
• Une plus grande confiance en soi
• Sensation de s’être allégé d’un poids
• Meilleure compréhension de ses ressentis
• Un bien-être physique et psychique
• Changement de regard et de comportement face à certaines situations
• Relâchement
• Ouverture à soi et à l’autre
• Retrouver sa joie de vivre…

L’impact d’un soin

L’étiomédecine agit sur tous les plans.

Sur le plan physique :
Quand je suis stressé, mon ventre se serre, je transpire. Quand je suis en colère, mes muscles se tendent, je serre les mâchoires, mon cœur s’accélère. Bref ce que nous vivons sur le plan émotionnel a un impact sur le plan physique et fonctionnel.
Le fait de lever un problème qui nous impacte sur le plan émotionnel ou psychique va donc avoir un effet bénéfique sur le plan physique. Il en va ainsi des douleurs articulaires, du bruxisme, des maux de tête etc. etc. mais également des troubles fonctionnels comme la constipation, les inflammations du colon, problème de libido, etc.

Sur le plan émotionnel :
Quand on comprend qu’une émotion est le vecteur d’une information, on ne cherche plus à la gérer mais à l’accueillir/ l’accepter. De ce fait les émotions que nous vivons comme désagréables existent toujours mais passent plus vite et nous impactent moins.

Sur le plan psychique :
Notre vécu, ce qui nous a « moulé » comme nous sommes, est inscrit en nous. On parle de subconscient, d’inconscient, de mémoire cellulaire, mémoire de souffrance ou de croyance limitante… Nous ne pouvons pas revenir en arrière et effacer notre histoire, mais nous pouvons travailler sur le vécu que nous en avons et sa réalité présente. Ainsi, je peux rester prisonnier de l’image de « nul » que l’on m’a transmise dans mon enfance et en subir, encore aujourd’hui, l’impact plus ou moins conscient. Comme par exemple boire en excès pour oublier à quel point je suis nul. Ou échouer avec brio tout ce que j’entreprends pour continuer de me prouver qu’en effet, je suis bien nul comme on me l’a tant répété. Ou bien je peux travailler sur l’impact de cette information et accepter de traverser, peut-être, la tristesse ou la rage qui y sont accolées et enfin le sentiment d’injustice que j’ai vécu, enfant, d’avoir été traité ainsi, de façon à lâcher cette info et laisser place à d’autres réalités. Ainsi quand je me regarderai dans la glace, je ne verrai plus « un nul » mais … . Sur le plan concret : Si je ne me vois plus comme un nul, peut être que j’oserai aller parler à celle ou celui qui me plait où prétendre au travail de mes rêves…

Voir :
L’étiomédecine : qu’est-ce que c’est ?

Comment se déroule un soin ?